aaaaaarg, c’est dur.

La fugue est ici

Ok, même si ya certains trucs qui rushent, je trouve qu’au plan musical, elle est quand même réussie, bon. C’est pour ça que je vous la montre, et vous avez le droit de l’apprécier – même si sur le plan strictement pédagogique, ben j’ai pas atteint l’objectif! Mais ici on est sur mon blogue, alors on s’en fout de la pédagogie! Wouhouuuu!

Ce qui cloche:

Pour ceux qui se le demandent (je sais qu’il y en a très très très peu mais bon!… Faut pas bouder son plaisir), lors du dernier divertissement, juste avant la pédale de dominante, j’ai voulu faire une grosse marche no7 (voir la ligne chromatique à la basse) qui s’énonce, à partir du VIe degré, avec que des résolutions sur des accords mineurs!… (un VI mineur et un VII mineur)… Déjà là ça fait un peu trop d’informations, et harmoniquement, on est un peu perdus à la fin!… (on comprend pas le N comme un N non plus à cause de ce qui précède).

Et puis tout ça pour aboutir à la fin de la marche sur un V qui se résoud non pas sur un I mais sur un V de N (avec le même mouvement sensible-tonique) pour atteindre mon sommet sur N… mais bon, la ligne de basse (avec des rondes pointées partout), c’est pas très très contrapuntique, hein!… Harmoniquement, c’est quand même pas mal efficace, mais contrapuntiquement, ca varge pas ben ben. D’autant plus que le sujet donné impliquait presque automatiquement des croisements et des chevauchements, alors yen a à la pelle tout le long et ils sont pas bien faits… et puis les motifs contrapuntiques s’égarent, se multiplient, finalement je perds l’unité et puis bâtard c’est une fugue ratée!… mais j’ai appris plein de trucs, c’est vrai.

À propos de zviane

J'aime le blé d'inde.
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